LA MARCHE DES PERES POUR L’ÉGALITE PARENTALE

Pour information

La Marche des Pères pour l’Égalité Parentale

Du 10 novembre au 17 décembre, une dizaine de parents vont traverser la France de Marseille jusqu’à Paris. Une action pacifiste en faveur de l’égalité parentale pour alerter l’opinion publique, les médias et fédérer le maximum d’acteurs politiques autour de trois revendications :

  • Faire de la résidence alternée un principe de base
  • Renforcement de la loi pour les non-représentations d’enfant
  • Mesures contre l’éloignement géographique volontaire

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LE COMPORTEMENT ALIÉNANT EST UNE CRUAUTÉ MENTALE

Le comportement aliénant est une cruauté mentale

 

Par Dr. Richard A. Warshak

Deux décennies après la publication de la première édition de l’ouvrage désormais classique DIVORCE POISON, la prévalence et la gravité de l’aliénation parentale sont de plus en plus reconnues. Le dernier exemple en date nous vient d’Inde.

“Tout acte de la part de l’un des parents visant à priver l’autre parent de l’amour et de l’affection de l’enfant en l’éloignant de lui constitue un acte de cruauté mentale”, selon une décision récente de la Haute Cour de Kerala, en Inde.

La Haute Cour a décrit l’aliénation parentale comme “un processus par lequel un enfant s’éloigne d’un parent à la suite de la manipulation psychologique d’un autre parent. Elle se produit lorsqu’un parent sape ou porte atteinte au contact et à la relation entre l’enfant et l’autre parent sans raisons fondées. Il s’agit d’une stratégie par laquelle un parent manifeste intentionnellement à l’enfant une négativité injustifiée à l’égard de l’autre parent. Le but de cette stratégie est de nuire à la relation de l’enfant avec l’autre parent et de retourner les émotions de l’enfant contre l’autre parent.”

Cette décision s’ajoute à la jurisprudence internationale en constante expansion qui reconnaît la malignité des comportements aliénants des parents.

Dans une déclaration qui sera célébrée par les parents et les autres personnes blessées par le rejet irrationnel d’un enfant, les juges du Kerala ont ajouté : “Un enfant a droit à l’amour et à l’affection de ses deux parents. De même, les parents ont le droit de recevoir l’amour et l’affection de l’enfant.”

Le problème juridique dans cette affaire portait sur la question de savoir si le comportement aliénant constituait une cruauté mentale envers le parent cible. Ainsi, la Cour a formulé son objection au comportement aliénant en termes de devoir d’un parent envers l’autre parent : “La défenderesse, en tant que mère, a violé tous les devoirs qu’elle avait en tant que parent gardien envers le parent non gardien, à savoir inculquer à l’enfant de l’amour, du respect et des sentiments pour son père. Rien ne peut être plus douloureux que de voir ses enfants – sa propre chair et son propre sang – le rejeter. Les actes susmentionnés de l’intimé aliénant délibérément l’enfant à l’appelant constituent sans aucun doute une cruauté mentale.”

Quand j’ai lu ces mots, ils m’ont paru familiers. Pas dans le sens du déjà vu. Le chapitre 4 de DIVORCE POISON commence par une citation d’une affaire américaine de 1988 qui a été confirmée par la Cour suprême de Floride. Dans cette affaire, le juge de première instance a déclaré : “La mère a violé toutes les obligations qu’elle avait en tant que parent ayant la garde des enfants envers le parent n’ayant pas la garde, à savoir inculquer aux enfants de l’amour, du respect et des sentiments pour leur père.” En fait, le juge a décrit le comportement aliénant du parent comme ayant “fait couler du poison dans l’esprit de ces enfants”.

Contrairement à l’impact du comportement aliénant sur le parent qui est la cible de cette cruauté, un tribunal du Vermont, aux États-Unis, a formulé le comportement aliénant en termes d’impact sur l’enfant : “Dans l’ensemble du pays, les autorités considèrent que le comportement d’un parent qui tend à éloigner l’enfant de l’affection de l’autre parent est si nuisible au bien-être de l’enfant qu’il constitue un motif de refus de la garde ou de changement de garde pour le parent coupable de ce comportement”. (Cité par la Cour suprême du New Hampshire dans “In Re Miller and Todd”).

Susciter des peurs irrationnelles et de la haine chez les enfants est cruel. La Cour de Kerala a vu juste. Un comportement aliénant est une cruauté mentale. Il est cruel d’utiliser les enfants pour blesser les parents, et cruel pour les parents qui perdent une relation d’amour avec leurs enfants.

 

DANS LA TETE D’ÉMY PAR MYLENE MOISAN

Dans la tête d’Émy

 

 

 

Par Mylène Moisan

“CHRONIQUE / Adolescente, Emy Gemme envoyait des poignées de bêtises par textos à sa mère, des mots durs, blessants.

Son père était derrière. «Il me dictait quoi écrire». C’était un «amour conditionnel», il obligeait Emy à faire tout ce qui lui ordonnait, faute de quoi, lui disait-il, il ne l’aimerait plus. «Il m’a forcée à rejeter ma mère pour mériter son amour. J’avais l’impression d’être un objet qui lui appartenait. Il avait un contrôle sur tout ce que je faisais. Si je ne lui donnais pas raison, il y avait des pics.» …

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ALIENATION PARENTALE, EMPRISE : RETOUR D’EXPERIENCE, REGARD D’UN AVOCAT.

Aliénation parentale, emprise : retour d’expérience, regard d’un avocat.

 

 

 

Par Maître Cyril Braniste

Le syndrome d’aliénation parentale « SAP » existe sous cette qualification depuis les années 80.
Il s’agit, selon la définition du psychiatre Gardner qui a théorisé la notion, d’un « ensemble de troubles psychologiques qui sont la conséquence chez l’enfant et l’adolescent, d’une situation où un parent qualifié “d’aliénant” s’efforce par tous les moyens de l’éloigner de son autre parent “parent aliéné”, et ce notamment avec la participation active de l’enfant »

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UN JUGEMENT DE RECONNAISSANCE D’ALIÉNATION PARENTALE

La Voix du Nord

 

Séranvillers-Forenville: elle refuse le droit d’hébergement au père de ses enfants, le tribunal la juge coupable.

Un jugement de reconnaissance d’aliénation parentale (trop rare) à saluer :
“Nous sommes ici dans un syndrome d’aliénation parentale dans le but de détruire le père avec des accusations infondées de mauvais traitements”

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ALIÉNATION PARENTALE LE VIRUS AUGMENTE LA DISTANCE

La Voix du Nord

 

Depuis le début du confinement global, les appels et les courriels se sont multipliés à l’adresse de l’association J’aime mes 2 parents, basée à Hellemmes et présidée par le Marcquois François Scheefer.

 

«  La situation est de plus en plus difficile pour les parents qui n’ont pas la garde principale des enfants, note celui-ci. Des parents ont profité du week-end précédant le confinement (14-15 mars) pour quitter leur domicile et s’installer ailleurs, avec leurs enfants. Ils n’ont pas informé l’autre parent, qui n’a pas pu exercer son…

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LA CEDH PROLONGE SES MESURES EXCEPTIONNELLES

Le confinement risque de durer… Et tout le monde en prend conscience. La Cour européenne des droits de l’homme a annoncé la prolongation des mesures exceptionnelles qu’elle avait prises le 16 mars 2020.

Dès lors :

– le délai de six mois pour introduire une requête, prévu par l’article 35 de la Convention européenne des droits de l’homme, prolongé à titre exceptionnel pour une période d’un mois à compter du 16 mars 2020, est prolongé pour une nouvelle période de deux mois à compter du 16 avril 2020 jusqu’au 15 juin 2020 inclus ;

– les délais impartis dans les procédures pendantes et prolongés pendant une période d’un mois à compter du 16 mars 2020 sont prolongés pour une nouvelle période de deux mois à compter du 16 avril 2020 ; toutefois, ceci ne s’applique pas au délai de trois mois prévu par l’article 43 de la Convention qui permet aux parties de demander le renvoi de l’affaire devant la Grande Chambre.

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QU’EST-CE QUE L’ALIÉNATION PARENTALE ?

Comment les Tribunaux des affaires familiales réagissent-ils à ce phénomène

Dans un jugement exceptionnel, Erez Shani, juge du Tribunal des affaires familiales de Tel-Aviv, a ordonné de retirer la garde de deux enfants de la mère pour la confier au père, en raison d’aliénation parentale prolongée. Il s’agit de parents divorcés de deux enfants de neuf ans, sous la garde de leur mère, coupés de leur père, lorsque, depuis déjà plusieurs mois, le juge avait ordonné la nomination d’une thérapeute d’aliénation parentale. À l’époque, le contact entre le père et ses deux enfants avait été rompu pendant deux ans. Le juge écrivit dans sa décision qu’il fallait reconnaître les mineurs comme en état de besoin et les soustraire de la garde de la mère. Le juge a statué qu’une condition fondamentale pour un parent pour avoir la garde est sa capacité à maintenir le contact entre l’autre parent et les enfants, sauf dans le cas où il existe une justification claire de l’inexistence de la relation.

L’intégralité de l’article peut être lu via ce lien: cliquez-ici.

 

SÉPARATION: ÉMISSION LE MONDE EN FACE

Présenté par : Marina Carrère d’Encausse

L’intégralité de la vidéo peut être lu via ce lien: cliquez-ici.

 

PAROLES DE MAMANS

L’Aliénation parentale : cette violence psychologique insidieuse qui abîme les enfants

Lors d’une séparation ou d’un divorce conflictuel, il peut arriver qu’un enfant rejette et dénigre le parent qui n’en n’a pas la garde et ce, sans raison apparente. L’ enfant sous l’emprise de la mère ou du père qui en a la garde est pris dans cette gangue antagoniste. On parle alors d’aliénation parentale.

L’intégralité de l’article peut être lu via ce lien: cliquez-ici.

 

SANTÉ DES ADOS

Divorce: une mauvaise communication avec le père affecterait la santé des ados

Après un divorce, de nombreux enfants auraient du mal à communiquer avec leur père, ce qui aurait des conséquences néfastes sur leur santé et l’estime de soi plus tard pendant l’adolescence.

L’intégralité de l’article peut être lu via ce lien: cliquez-ici.

 

CONDAMNATION DE L’ÉTAT

Privé de sa fille pendant dix ans, un père obtient une condamnation de l’état pour faute lourde

L’histoire de Xavier Couderc, ce père puydômois qui, pendant dix ans, a remué ciel et terre pour retrouver sa fille, enlevée par sa mère tchèque, pourrait faire l’objet d’un roman. Dernier chapitre en date : la condamnation de l’Etat qui, selon lui, n’a rien fait – ou mal – pour l’aider. Le jugement porte sur les propos d’un procureur. Il ne satisfait pas encore ce père déterminé…

L’intégralité de l’article de La Montagne peut être lu via ce lien: cliquez-ici.

 

LA JUSTICE NE FAIT RIEN..

la justice

La justice ne fait rien

Mon ex mari m’empêche de voir mes enfants : la justice ne fait rien !!!


Je suis maman de trois enfants. J’ai été mariée plus de 15 ans et en 2012 mon ex mari décide de me quitter. Pire, il décide de me priver de mes enfants. Je n’ai plus eu de contact avec mes enfants. Pendant plusieurs mois, mon ex mari avec le concours de son frère ont manipulé mes enfants. Ils leurs ont dit que je les avais abandonné pour m’enfuir avec un autre homme. Mes enfants âgés de 10 ans, 9 ans et 4 ans en 2012 ont donc été facilement manipulé. Mon ex mari a réussi à faire croire à mes enfants que je n’étais plus leur mère, je cite les propos de mes enfants ” on n’est pas tes enfants, tu n’es pas notre mère on est pas sorti de ton ventre”.

J’ai alors saisi le juge aux affaires familiales pour demander la garde de mes enfants. Le juge m’a octroyé la garde sauf que mes enfants ont refusé de venir avec moi. Ils ont refusé tout contact avec moi. Les travailleurs sociaux m’ont donc demandé de saisir le juge et de sollicité un droit de visite et d’herbegement en attandant que la relation entre mes enfants et moi puisse se rétablir. Le juge aux affaires familiales a décidé de m’octroyé un droit de visite médiatisé. Mon ex mari décide de ne pas respecter la décision du juge. Un rapport des travailleurs sociaux est remis au procureur qui décide de saisir le juge des enfants en 2013.

Les services de l’enfance ont fait état dans leur rapport d’un syndrome d’aliénation parentale.

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MARYLINE JOSSE TÉMOIGNE DANS L’ÉMISSION <<ÇA COMMENCE AUJOURD'HUI>>

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Maryline Josse témoigne dans l’émission « Ça commence aujourd’hui »

Lundi 4 février 2019, Maryline Josse, auteure de trois livres sur l’aliénation parentale, a partagé son histoire dans l’émission “Ça commence aujourd’hui”, sur France 2 à 14 h.


Maryline Josse, originaire de Bouttencourt (Somme) est auteure de trois livres sur l’aliénation parentale qu’elle décrit comme « la trilogie de mon histoire de vie » : Le destin de grand-mère Joséphine, en 2014, Secrets de Chaumières en 2016 et Le tsunami de ma vie. Le cauchemar de l’aliénation parentale en décembre 2018.

Son but à travers ce dernier ouvrage étant de sensibiliser le public au syndrome d’aliénation parentale : une manipulation qu’un parent exerce, consciemment ou non, sur son enfant, et ce au détriment de l’autre parent.

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JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT

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Aujourd’hui 20 novembre journée internationale des droits de l’enfant.


C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la “Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant” (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Que contient la convention des droits de l’enfant?

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ENLÈVEMENT INTERNATIONAL D’ENFANTS

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Enlèvement international d’enfants : LE dossier


Le 25 juin 2018, l’Association Louis Chatin, l’ENM et l’EFB organisaient un colloque sur « L’enfant au coeur des déplacements illicites internationaux : droit et pratiques ». Un bel événement qui donne l’occasion à l’AJ famille, en s’appuyant sur certaines des interventions, de livrer à ses lecteurs un dossier complet sur l’enlèvement international d’enfants, domaine où il est primordial que les différents acteurs soient particulièrement bien formés et ouverts à la communication transfrontière.

La complexité de la matière liée à la multiplicité et l’enchevêtrement des textes applicables doit être dépassée. Il y va de l’intérêt de l’enfant !

Le dossier du mois d’octobre vous y aidera. Tout y est ! Et le schéma de la procédure vous permettra d’être plus à l’aise avec cette procédure particulière.

Je vous invite à consulter gratuitement pendant quelques jours le premier article du dossier en cliquant ICI.


DU NOUVEAU EN MATIÈRE DE DIVORCE ET DE PENSIONS ALIMENTAIRES

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Projet de loi de programmation de la Justice : du nouveau en matière de divorce et de pensions alimentaires


Hier, le 23 octobre 2018, le Sénat a adopté, par 228 voix pour et 19 voix contre le projet de loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice et,  par 303 voix pour et 17 voix contre, le projet de loi organique relatif au renforcement de l’organisation des juridictions.

S’agissant de la procédure de divorce, le Sénat abroge l’article 12 du projet de loi de programmation de la justice qui supprimait la phase de tentative de conciliation. Et il déjudiciarise la procédure de séparation de corps par consentement mutuel (art. 12 bis) et permet la signature électronique des conventions de divorce sous signature privée contresignées par avocats et déposées au rang des minutes d’un notaire aujourd’hui interdite par l’article 1175 du code civil.

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ACALPA A RÉPONDU PRÉSENT

Acalpa

Le mercredi 23 mai dernier, ACALPA a répondu présent à l’invitation de Thierry BERGER, président de Egalité parentale 92, et auteur du livre « Les orphelins du divorce », pour une soirée dédicace signature.


Le mercredi 23 mai dernier, l’ACALPA a répondu présent à l’invitation de Thierry Berger, président de Egalité parentale 92, et auteur du livre « Les orphelins du divorce », pour une soirée dédicace à laquelle une dizaine d’auteurs avaient été conviés. Tous avaient en commun de traiter dans leur ouvrage des séparations conjugales difficiles et des conséquences sur les enfants.

Malgré les difficultés dues aux grèves, presque tout le monde était présent. Le public était venu en nombre. L’ACALPA a eu beaucoup de  succès avec l’ouvrage « Séparations conflictuelles et aliénation parentale, enfants en danger » . Les demandes étaient telles que notre présidente Olga Odinetz n’a pas pu quitter le stand et 15 livres ont été vendus.

De nombreux adhérent(e)s et sympathisant(e)s de l’ACALPA s’étaient déplacés pour participer à l’évènement et surtout pour se retrouver ou faire connaissance. La soirée dédicace terminée, nous étions dix à diner ensemble dans un restaurant du quartier.

Le matin de cet évènement, Thierry Berger, Sabrina de Dinechin (médiatrice familiale) et Jean Pierre Cambefort (psychologue, auteur de  « Famille éclatée, enfants manipulés – l’aliénation parentale » ), avaient participé à l’émission « En Quête de Sens – Comment concilier séparation du couple et équilibre de l’enfant ? Enfant privé de son parent suite à une séparation conflictuelle (phénomène, impacts, solutions) » sur Radio Notre Dame.

Podcast à cette adresse :
https://radionotredame.net/emissions/enquetedesens/23-05-2018/
Bonne écoute à toutes et à tous.
 

Christian, pour le Bureau de l’ACALPA


SOIRÉE RENCONTRE ET DÉDICACE

 rencontre

Mercredi 23 mai, soirée de rencontre et dédicace.


Nous avons le plaisir de vous inviter à une soirée de rencontre avec les parents et à une soirée dédicace avec plus de 10 auteurs ayant écrit ces dernières années des livres sur les détresses dues aux inégalités parentales à la suite d’une séparation ou d’un divorce conflictuels. Acalpa sera présente avec les présences de la présidente Madame Olga Odinetz et du délégué aux évènements Monsieur Christian Vrillaud.

Heure: de 18h30 à 21h30
Leu : Forum104
104 rue de Vaugirard 75006 Paris
Cocktail, petit concert, accès au grand jardin…
(entrée gratuite)


L’ASSOCIATION SAINT RAPHAËL

L’œuvre de l’association Saint-Raphaël est crée en 1860 par Amédée Ferrand de Missol, médecin, devenu prête.


Créer, conserver, faire croître le lien familial est au cœur des enjeux de l’accompagnement ici à l’association Saint-Raphaël.

Cela fait parti des missions du Pôle Enfance et Parentalité et plus particulièrement du SAEF, qui accompagne les familles, quelle que soit leur composition.

L’association Saint-Raphaël accompagne les familles depuis plus de 150 ans.

L’œuvre de Saint-Raphaël est crée en 1860 par Amédée Ferrand de Missol, médecin, devenu prête.

Avec le concours des « Dames de Saint-Raphaël », il s’agissait d’accueillir « la mère et l’enfant » en difficulté.

Dans la continuité de l’œuvre, nos deux missions ont donné naissance au pôle enfance et parentalité et au pôle insertion par le logement. Le Pôle Enfance et Parentalite

répond à un besoin de service d’accueil et d’accompagnement socio-éducatif et de soutien à la parentalité.

Le pôle insertion par le logement, en C.H.R.S comme en logement diffus, gère 45  logements destinés à accueillir temporairement des familles en difficulté, mal logées, ou dépourvu de logement. Ce pôle assure l’accompagnement social des ménages à travers 3 dispositifs. »

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LE JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES FACE AU SAP

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Le juge aux affaires familiales face au syndrome d’aliénation parentale


Il est important d’avoir pleinement conscience, quand on exerce les fonctions de juge aux affaires familiales, de juge des enfants, d’avocat, de médiateur familial, de travailleur social, de l’existence de situations de plus en plus nombreuses d’enfants en danger, victimes des relations conflictuelles de leurs parents. La problématique de l’aliénation parentale envahit de plus en plus les audiences des juges aux affaires familiales et concernerait 13% des enfants de parents séparés, dont 6% d’une manière grave.

De même, ces situations augmentent depuis de nombreuses années sur la scène des juges des enfants, voire constituent la grande majorité de leurs dossiers. Quelques éléments de réflexion sur ce fléau judiciaire, trop souvent aggravé par le judiciaire, peuvent être versés au débat.

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ACALPA VA INTERVENIR A LA CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU GEAP

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Acalpa va intervenir

à la 1ère Conférence Internationale
du Groupe d’Etude de l’Aliénation Parentale
les 21-23 Octobre 2017 à Washington, DC, aux Etats Unis.


Le Groupe d’Etude sur l’Aliénation Parentale (GEAP), fondé et présidé par le psychiatre américain Dr.William Bernet, est une association internationale qui regroupe près de 330 professionnels du droit et de santé mentale, ainsi que des avocats de la famille, ayant un intérêt particulier dans l’étude de l’aliénation parentale. Nos membres sont originaires de 40 pays regroupés sur six continents. La prési-dente et le secrétaire de l’ACALPA en font partie. Une dizaine de professionnels français ont également rejoint le GEAP.

Le GEAP va réaliser sa première conférence internationale les 21-23 Octobre 2017 à Washington, DC, aux Etats Unis, dans l’objectif de partager des activités professionnelles et mettre au point un plan stratégique pour développer (1) des programmes éducatifs et des formations pour des praticiens en santé mentale, des stagiaires et le grand public, (2) la recherche concernant les causes, le diagnostic et les interventions pour des situations d’aliénation parentale, et (3) l’usage de l’aliénation parentale dans les textes légaux ainsi que les plaidoiries en matière d’aliénation parentale dans les législations régionales et fédérales.

Les membres du GEAP définissent l’aliénation parentale comme la condition mentale dans laquelle un enfant –dont les parents sont généralement engagés dans une séparation ou un divorce hautement conflictuel – fait une forte alliance avec le parent préféré (le parent aliénant) et rejette la relation avec son autre parent (le parent cible) sans raison légitime. La composante mentale de cette condition est la fausse croyance que le parent rejeté est diabolique, dangereux, ou ne vaut pas la peine d’être aimé. La composante comportementale de l’aliénation parentale est le rejet ferme et persistant d’une quelconque relation avec le parent cible.

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UN DES ÉVÉNEMENTS LES PLUS IMPORTANTS EN DROIT DE LA FAMILLE

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UN DES ÉVÉNEMENTS LES PLUS IMPORTANTS EN DROIT DE LA FAMILLE

25 et 26 janvier 2018 : 14e édition des Etats généraux du droit de la famille


Tenez-vous prêts pour l’un des événements les plus importants en droit de la famille : les Etats généraux du droit de la famille qui permettent non seulement aux avocats de se former, mais également d’échanger autour de leur pratique professionnelle.

« Familles sans frontière » sera le thème retenu pour l’assemblée plénière cette année !

La vie des couples et des familles ne connaît plus de frontière, quels qu’en soient ses aspects : mariages internationaux, enfants, patrimoine, divorce mais aussi recherche de solutions procréatives dans les pays dont la législation est plus propice que la législation française, désormais accueil et protection des enfants réfugiés.

Le Droit de la Famille et du Patrimoine évolue à travers la transposition en droit français des directives, l’intégration des traités et conventions au droit interne, l’application des règlements européennes et la jurisprudence de la CEDH.

Nous vous proposons cette année de prendre toute la mesure de ces évolutions avec lesquelles les praticiens que nous sommes doivent avancer.

Les inscriptions seront ouvertes le mois prochain. Mais bloquez d’ores et déjà les 25 et 26 janvier. Pour ma part, c’est déjà fait !!!!


LA MÉDIATION FAMILIALE : PAS SANS MON AVOCAT !

LA MÉDIATION FAMILIALE : PAS SANS MON AVOCAT !

Par Anne-Marion de Cayeux, Avocat.


La médiation familiale tend à s’imposer comme un préalable à la saisine du juge. Elle a la faveur du législateur et des juges aux affaires familiales. Avocats et médiateurs doivent accompagner le mouvement ensemble pour que la médiation soit une alternative sécurisante au judiciaire dans l’intérêt des parties et des enfants.

Nul n’ignore qu’11 juridictions ont été désignées par arrêté (du 16 mars 2017) pour que soit expérimentée, pour une période de 3 ans, une médiation préalable obligatoire avant toute saisine du Juge aux Affaires Familiales, pour les instances de modification de conventions ou de décisions judiciaires relatives à l’autorité parentale, la résidence des enfants, le droit de visite et d’hébergement, la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants. Donc, les contentieux post-divorces ou post-séparations de partenaires de PACS ou concubins, relatifs aux enfants.

Pour pouvoir plaider devant ces juridictions, il sera nécessaire d’avoir participé à au moins une séance de médiation. Les protocoles signés entre les tribunaux concernés, les associations de médiation familiales locales et les barreaux, prévoient que les associations de médiation signataires devront donner des réunions d’information gratuites aux parties. Ensuite, une séance de médiation devra être organisée qui, elle, ne sera pas gratuite. La présence du demandeur seul suffira à justifier de la tentative de médiation – et heureusement car sans cela l’absence du défendeur permettrait de faire échec à l’accès au juge.

Les protocoles signés ne laissent, hélas ! qu’une place marginale aux avocats dans cette tentative. Il y est en général écrit que « la présence de l’avocat est autorisée » aux séances de médiation ! Comment ne pas craindre alors que les avocats des parties s’organisent pour envoyer le demandeur à la séance de médiation et voilà… l’affaire sera faite, en avant à l’audience.

Ce serait un immense gâchis. Il est urgent que les avocats et les médiateurs travaillent ensemble.

L’adoption par les avocats d’une nouvelle façon de travailler, et l’ouverture des cabinets de médiation aux avocats s’imposent. Pour que la médiation devienne une alternative sérieuse et sécurisante au contentieux. Pour que le droit et la protection des parties et de leurs enfants ne soient pas exclus de la résolution des litiges. Pour que les parties réticentes à la médiation acceptent d’y aller, accompagnées, encouragées, soutenues par leur avocat. Pour qu’elles persévèrent malgré la souffrance et le conflit, pour avancer dignement vers la mise en place d’un cadre librement choisi qui convienne à leur famille et à leurs enfants. Pour que cessent les chicanes dont les juges aux affaires familiales ont assez. Pour que l’office du juge retrouve sa pureté, celle de dire le droit, et que nos magistrats retrouvent le temps d’écouter les parties pour que leur libre appréciation soit éclairée.

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DES ENFANTS PRIS EN OTAGES

enfants

Des enfants pris en otage


Publié le 03/09/2017 à 03:51 par Ladepeche.fr

C’est un divorce compliqué qui est à l’origine de la comparution d’une mère de famille pour non-présentation d’enfants. Hélène et Francis (1) se sont séparés en avril 2015 et un mode de garde a été mis en place jusqu’à ce jour où le père se présente au domicile pour récupérer ses enfants, une adolescente et un garçon plus jeune, et trouve porte close. Il envoie un SMS à la mère qui reste sans réponse, comme le raconte la présidente : «Le père a donc déposé plainte et…

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TROP D’ENFANTS PLACÉS ABUSIVEMENT

trop d'enfants

Trop d’enfants placés abusivement !


Trop d’enfants maltraités laissés en risque et sans secours ! En contradiction flagrante avec les objectifs de la Protection de l’Enfance.

On ne peut pas découvrir, savoir … et ensuite se taire

Trop d’enfants sont remis entre les mains de parents agresseurs, ou retirés à des parents aimants, par détournement des procédures, à la fois par des faux psychologues, par certains procureurs et quelques juges, qui ne retiennent des rapports que ce qui les conforte dans leur conviction préétablie. La parole de l’enfant et du parent protecteur est trop souvent bafouée, les plaintes classées sans suite.

Sylvie CASTRO dénonce une omerta autour de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance)
L’objectif principal est de détruire au maximum la famille, les liens d’amour familliaux……
Des enfants sont soustrait indéfiniment de l’autorité parentale après que ces derniers aient rencontré des problèmes dans leur vie familiale.


L’OCCASION DE NOUS RENCONTRER

rencontrer

rencontrer

L’occasion de nous rencontrer : Acalpa sera présente au Forum des associations à Chaville (92) le samedi 9 septembre 2017.


Le forum des associations se tiendra de 10h à 18h sur le parvis de l’Atrium de Chaville et dans sa contre allée, adresse: L’ATRIUM 3 Parvis Robert Schuman, 92370 Chaville

N’hésitez pas à saisir cette occasion de nous rencontrer, de discuter, de témoigner ..

C’est avec plaisir que nous vous accueillerons.

Pour y arriver :

En voiture de Paris :
D910 (ancienne N10), environ 10 mn
En train :

De Paris-St Lazare ou de Versailles RD :
Arrêt Chaville RD puis, 5 mn à pied par la rue Carnot à gauche en sortant de la gare
De Paris-Montparnasse ou de Versailles RG :
Arrêt Chaville RG puis, 10 mn à pied par la rue Anatole France à droite en sortant de la gare.
En Métro / Autobus :

De Paris :
Métro ligne 9, terminus Pont de Sèvres. Puis Bus 171, arrêt Atrium (trajet 10 mn)
De Versailles :
Bus 171, arrêt Atrium


SÉPARATION ET DOMICILE CONJUGAL

séparation

Séparation et domicile conjugal


Un an après la séparation d’un couple marié ou pacsé, l’un des conjoints est encore dans le domicile conjugal dans 75 % des cas. 5 % des couples continuent même de vivre ensemble malgré la séparation l’année de la rupture.
Quatre ans plus tard, la moitié des logements conjugaux ne sont plus occupés par aucun des deux conjoints.
Plus les personnes qui se séparent sont âgées, plus il est fréquent qu’elles gardent le logement conjugal.
Contrairement aux idées reçues, les hommes sont plus nombreux que les femmes à rester dans le logement la première année (43 % contre 32 % pour les femmes). Cet écart entre hommes et femmes se réduit les années suivantes.
En milieu rural, les écarts entre hommes et femmes sont plus marqués que dans les grandes villes : lorsque le logement conjugal est situé dans une commune rurale, dans 56 % des ruptures c’est l’homme qui garde le logement et dans 34 % c’est la femme. À l’inverse, les femmes gardent le logement plus fréquemment que les hommes lorsque le couple vivait dans un logement du parc social.

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